Parmi les choses qui ne changeront probablement jamais, on retrouve la traditionelle chronique creuse sur les cyclistes et le code de la route. Cette année, c'est «Mononcle Richard» que nous retrouvons sur un quelconque plateau de Quebecor. On notera que je me permets de le désigner ainsi puisque c'est littéralement le titre de la chronique et qu'il se qualifie lui-même de mononcle. Je suis dubitatif quant à ce choix de qualificatif qui m'apparaît plutôt déservir sa position affichée de "gros bon sens", mais après tout, qui suis-je pour juger du choix d'un nom, moi qui m'octroie le titre de zoïle à pédales...
Dans tous les cas, cette chronique m'a fait penser à quelque chose : depuis un an, j'ai maintenant une caméra fixée au guidon de mon vélo. À l'origine, je l'ai achetée pour documenter les quelques interactions houleuses avec d'autres usagers de la route, mais j'ai réalisé que les séquences vidéos qu'elle acquiert pourraient m'être utiles à autre chose. Si je les observais en ne me concentrant sur les feux rouges et leur respect par les automobilistes, qu'est-ce que j'obtiendrais? La réponse dans ce billet.